Inventeur : Floyd SWEET

Floyd SWEET

Floyd SWEET (1937-2011) – Pendant des décennies, les chercheurs en nouvelle énergie parlèrent de la possibilité de traiter un aimant de manière à ce que son champ magnétique soit en constante oscillation ou vibration. En de rares occasions, SWEET observa ce phénomène, appelé auto-oscillation, dans des transformateurs électriques. Il sentit qu’on pouvait l’appliquer à des fins utiles, comme la production d’énergie par exemple.

SQM - Floyd SWEETSWEET pensa que s’il trouvait le moyen précis de faire vibrer ou perturber le champ de force d’un aimant, le champ continuerait de vibrer de lui-même. C’était comme si une cloche continuait de sonner après avoir été frappée. Comme d’habitude, SWEET qui disait recevoir les idées dans ses rêves, reconsidéra ses connaissances sur les aimants en quête d’une nouvelle inspiration. Il savait qu’on pouvait utiliser des aimants pour produire de l’électricité, et il voulait savoir s’il pouvait obtenir de l’électricité à partir d’un aimant autrement que par le procédé standard de l’induction. Ce procédé veut que l’on fasse passer un aimant le long d’une bobine de fil conducteur comme le cuivre ou que l’on déplace une bobine dans le champ d’un aimant. Ce changement dans le champ magnétique produit du courant électrique dans le fil de cuivre.

SWEET voulait garder l’aimant en position fixe et seulement faire vibrer son champ magnétique. Cette vibration, à son tour, devait engendrer un courant électrique. Un chercheur en nouvelle énergie compare l’auto-oscillation au mouvement d’une feuille d’un arbre caressée par une douce brise. Il n’y a pas de mouvement de va-et-vient dans la brise et pourtant la feuille se balance. SWEET pensait que si l’énergie de l’espace pouvait être captée et utilisée comme la brise, le champ magnétique aurait le même comportement que la feuille. Il suffisait à SWEET de donner une petite quantité d’énergie pour que le champ magnétique se mette en mouvement, l’énergie de l’espace maintiendrait ce mouvement.

Appareil Floyd SWEETVers 1985, il inventa une série d’aimants spécialement conditionnés, entourés de fils. Pour tester son appareil, SWEET fit passer un courant dans la bobine de fil autour de l’aimant. Il en résulta que la bobine perturba le champ de l’aimant. C’était comme si SWEET avait arraché le champ magnétique de sa position et l’avait mis en mouvement. Puis SWEET brancha sur la bobine une ampoule de douze volts (le type utilisé pour les lampes de poche). Si l’appareil produisait de l’électricité, l’ampoule devait s’allumer. Les résultats dépassèrent toutes les attentes de SWEET. L’électricité qui sortit de la bobine était d’une telle intensité qu’il sortit un éclair de l’ampoule : la charge électrique qu’elle avait reçue la fit fondre.

L’inventeur était sidéré par cet éclair aveuglant d’où venait tant d’énergie ? Il retourna à sa table de travail pour concevoir d’autres modèles. SWEET avait besoin d’une théorie qui pouvait expliquer sa découverte effrayante, quand il se souvint d’avoir entendu parler lors d’une émission sur une radio locale, de Thomas BEARDEN, un officier de l’armée à la retraite et physicien du nucléaire, et de John BEDINI, un expert en électronique. SWEET appela BEDINI, qui s’arrangea pour que BEARDEN rende visite à SWEET. BEARDEN vit ce curieux appareil tirer près de six watts d’électricité de l’air, alors qu’il n’utilisait qu’une infime fraction d’un watt pour fonctionner.

BEARDEN s’en donna à cœur joie dans des tests, et fut très heureux de voir que ce petit appareil incarnait les concepts non orthodoxes qu’il avait décrits au fil des ans, les concepts de base de l’énergie de l’espace. Il nomma l’assemblage d’aimants et de bobines de fils de SWEET le Tube Triode Amplificateur du Vide (Vacuum Triode Amplifier = VTA). BEARDEN en conclut que l’appareil servait de porte de passage à l’énergie de l’espace, qui allait s’emmagasiner dans un circuit électrique. L’aspect le plus surprenant de l’appareil de SWEET, c’est qu’il produisait beaucoup plus d’énergie qu’il n’en consommait. Dans quelles proportions ? Avec un modèle de 1988, SWEET s’aperçut qu’en alimentant l’appareil avec 330 micro watts – 330 millionièmes de watt – les bobines de fil du VTA produisaient plus de 500 watts d’électricité utilisable, soit près de un million et demi de fois la mise.

Appareil 2 Floyd SWEETIl s’est avéré que le VTA produisit quelques effets très bizarres, mais BEARDEN était préparé à ce genre de choses grâce à ses expériences de chercheur. En 1987, BEARDEN demanda à SWEET d’expérimenter l’anti-gravité. BEARDEN avait calculé que la machine de six livres pourrait se mettre à léviter lorsqu’elle atteindrait la puissance de 1500 watts, mais que, parallèlement, les aimants pourraient exploser à ce même degré de puissance. Il conseilla à SWEET de limiter le rendement d’énergie à 1000 watts. Un VTA serait placé sur une balance pour qu’on puisse bien vérifier son poids, et il serait relié à une série de douilles. En vissant les ampoules sur les douilles, on soutirerait le courant.

Environ une semaine plus tard, BEARDEN étant retourné en Alabama, SWEET, lui téléphona les résultats pendant qu’il vissait, une à une, dix ampoules de cent watts sur les douilles. L’appareil perdit progressivement jusqu’à 90 % de son poids originel.SWEET et BEARDEN arrêtèrent l’expérience pour des raisons de sécurité, avant que l’appareil ne fût en mesure de décoller et de voler. Pourquoi le VTA perdit-il du poids ? Selon la théorie de BEARDEN, la force d’attraction de la gravité peut se transformer en force de répulsion sous certaines conditions. BEARDEN dit aussi que l’énergie de l’espace a une pression, définie comme densité énergétique. Si la pression au-dessus d’un objet est réduite pendant que la pression sous l’objet est intensifiée, l’objet sera attiré vers le haut. Le VTA avait dû transformer la densité énergétique en attirant de l’énergie de l’espace.

Un ingénieur de tests, Walter ROSENTHAL de Californie, qui a aidé beaucoup d’inventeurs en difficulté à tester leurs appareils, se souvient d’un incident que SWEET lui avait raconté. Il se produisit alors que SWEET cherchait à documenter son expérience sur l’antigravité : « On observa comment la machine perdait du poids de manière tout à fait régulière, alors qu’on la chargeait de plus en plus (en connectant les ampoules), jusqu’à ce que, tout d’un coup, Floyd entendit un bruit énorme, comme s’il se trouvait à l’intérieur d’un gigantesque tourbillon d’air, mais sans réel déplacement d’air. Le bruit avait été entendu par Rose, dans une autre pièce de leur appartement, ainsi que par d’autres personnes à l’extérieur de l’appartement. » Cette expérience fut confirmée par un chercheur en énergie de l’espace canadien, qui a entendu un bruit similaire lors de l’une de ses expériences. Un autre effet inhabituel du VTA de SWEET était la production de froid, alors qu’un équipement électrique produit généralement de la chaleur. L’intérieur du VTA avait une température d’environ vingt degrés de moins que l’air ambiant. Plus on chargeait l’appareil, plus il se refroidissait. Quand par accident les fils du VTA court-circuitaient, ils donnaient un éclair de lumière très blanche et on s’apercevait qu’ils étaient couverts de givre. Un jour, SWEET toucha l’appareil pour un court instant : sa peau fut arrachée par le gel.

Tous ces passages, résumés et citations sont issus d’ Énergie libre et technologies disponible sur Amazon.fr. J’en ai simplement filtré et rassemblé l’essence – Emmanuel FESSELIER

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