Théoricien : Moray B. KING

Moray B KING

En 1978, Moray B. KING, est étudiant licencié de l’Université de Pennsylvanie. En cherchant dans les livres de physique des principes relatifs à l’anti-gravité, qu’il tomba sur le concept de l’ énergie du point zéro, qui l’intéressa encore davantage. Ce concept prenait en compte non seulement l’anti-gravité, mais aussi une abondante source d’énergie.

La plupart des scientifiques et des ingénieurs ont appris que le vide de l’espace est complètement vide et calme, qu’il n’y a ni chaleur, ni lumière, ni matière. À moins qu’il n’étudie la mécanique quantique, un étudiant ne verra jamais l’énergie du point zéro mentionnée dans ses livres.

L’étudiant en mécanique quantique, lui, apprend que la structure de l’espace est constituée de fluctuations électriques désordonnées. Il apprend aussi que ces fluctuations sont appelées collectivement énergie du point zéro, parce qu’elles représentent l’énergie présente même à la température du zéro absolu, température à laquelle tout est complètement froid. C’est l’énergie qui reste lorsque toutes les autres sources d’énergie ont tari. Cette énergie est difficile à détecter parce qu’elle est partout. Attendre de quelqu’un qu’il la ressente reviendrait à demander à un poisson de percevoir l’océan ; le poisson ne peut pas concevoir, un monde différent de celui de l’océan. De la même façon, les fluctuations électriques qui constituent l’énergie de l’espace sont trop microscopiques et trop rapides pour que nous puissions les percevoir avec nos corps ou des appareils de détection habituels.

Moray B KING photoLes scientifiques supposent que ces fluctuations du vide s’équilibrent naturellement. Ils appellent cela la deuxième loi en thermodynamique, connue aussi sous le nom de loi de l’entropie. Cette loi dit que tout est condamné à suivre un processus de désorganisation de plus en plus importante, jusqu’à aboutir à un arrêt de fonctionnement total. Ce qui veut dire que, d’après la science traditionnelle, l’énergie de l’espace ne peut pas être utilisée à des fins pratiques, parce que son désordre ne peut pas être transformé en un système organisé. C’est comme si un tas de fils soudain s’organisaient d’eux-mêmes pour former une chemise.

Moray B. KING avait découvert les références les plus impressionnantes à l’énergie du point zéro ou de l’espace, dans un livre intitulé Geometrodynamics. Son auteur était le physicien réputé John Archibald WHEELER, qui disait que cette énergie moussant dans la structure de l’espace était très puissante, et que si elle était condensée dans un objet, il rayonnerait plus d’énergie qu’une étoile brillante. Ceci représente énormément d’énergie.

La différence entre la mécanique quantique standard et les idées de WHEELER ou d’autres scientifiques est qu’ils pensaient que les particules élémentaires comme les protons et les électrons étaient non seulement mélangées avec l’énergie de l’espace mais, qu’en fait, elles étaient constituées d’énergie de l’espace. Au fur et à mesure que Moray B. KING continuait de lire des livres sur ce sujet, il commença à voir l’énergie comme un grand courant, un fleuve d’une autre dimension de l’espace, et les particules élémentaires comme de minuscules tourbillons dans ce fleuve. Si le fleuve s’arrêtait de couler, les particules élémentaires (les pierres de construction de toute la matière) disparaîtraient. Ainsi en irait-il de nous et de toute chose.

Moray B KING livreAvec beaucoup de respect, Moray B. KING commença à considérer l’énergie de l’espace par delà la conception standard d’un jaillissement désordonné de particules élémentaires. Il trouva confirmation de ses nouvelles idées dans les travaux d’un physicien et pédagogue, le Dr Timothy BOYER qui disait que l’énergie de l’espace influençait en effet la matière, donc le monde physique autour de nous, et qu’elle n’est ni désordonnée, ni insignifiante.

Moray B. KING se demanda pourquoi personne ne cherchait si toute cette énergie pouvait être captée et mise au travail. La réponse semblait se trouver dans la spécialisation. Les personnes qui construisent des machines et des générateurs pour faire bouger, chauffer et démarrer les choses (les ingénieurs), n’étudient pas nécessairement la mécanique quantique. Et les personnes qui étudient la mécanique quantique, celles qui trouvent les équations et les formules (les physiciens), ne construisent pas de machines.

L’Académie n’était pas particulièrement intéressée à l’énergie de l’espace en ce temps-là, mais un nombre de lecteurs toujours plus grand, essentiellement en dehors des murs de l’université, accueillit avec beaucoup d’enthousiasme le livre que KING avait fini par écrire. Tapping the zero-point energy, publié pour la première fois en 1989, réunissait des théories déjà révélées sur l’énergie de l’espace et des théories expliquant comment des systèmes naturels s’organisent eux-mêmes. Ce livre posait les fondements pour le développement d’une théorie cohérente pour une nouvelle source d’énergie.

Le scientifique d’origine russe, Ilya PRIGOGINE, reçut le prix Nobel en 1977, pour avoir démontré comment un système désordonné pouvait évoluer en un système ordonné. Cela veut dire que l’entropie, qui veut que tout système évolue vers un désordre toujours croissant, n’est plus la seule règle en jeu dans l’univers. Cela veut dire aussi que l’énergie peut être effectivement considérée comme une force créatrice dans l’espace, et non pas comme un chaos désordonné. Ce comportement opposé à l’entropie a depuis été appelé néguentropie.

Jusqu’en 1994, Moray B. KING n’a eu de cesse d’affiner ses idées sur l’énergie de l’espace. Lors de ses conférences, il passionnait ses auditeurs en leur expliquant pourquoi les vortex (des spirales tourbillonnantes ou tournoyantes présentes partout dans la nature) étaient une clé du sas énergétique. KING dit qu’en donnant une soudaine impulsion rotative au noyau d’un atome et à ses voisins et en maintenant cette rotation, il est possible d’attirer une certaine quantité d’énergie de l’espace dans un système produisant de l’électricité. En faisant tourner les matériaux déjà en rotation, spin sur spin, on a une meilleure chance de capter encore plus d’énergie. Puis, en introduisant dans ce système une paire de vortex tournant en sens inverse, on obtiendra vraiment quelque chose d’intéressant. Afin de visualiser partiellement ce concept, imaginez deux yoyo, torsadez leur fils, et laissez aller pour que les deux yoyo se mettent à tourner. Vous pouvez ensuite lancer les yoyo dans un mouvement circulaire, l’un vers la droite, l’autre vers la gauche. Ceci est le type de mouvement qui permettrait à un inventeur de toucher le jackpot de l’énergie de l’espace.

Tous ces passages, résumés et citations sont issus d’ Énergie libre et technologies disponible sur Amazon.fr. J’en ai simplement filtré et rassemblé l’essence – Emmanuel FESSELIER

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