Inventeur : Wingate LAMBERTSON

Wingate LIMBERTSON

Wingate LAMBERTSON (1920-2010) – En Floride, le Dr Wingate LAMBERTSON allume une série d’ampoules avec, dit-il, l’électricité de l’énergie dans la pièce. LAMBERTSON est un ancien directeur de la Science and Technology Commission du Kentucky, et il lui a fallu des années pour vaincre son scepticisme académique face à ceux qui prétendaient pouvoir obtenir quelque chose avec rien – que l’énergie disponible gratuitement dans l’espace pouvait être captée et utilisée à des fins pratiques.

Après plus de vingt ans de recherches et d’expérimentations, LAMBERTSON est aujourd’hui sûr que l’énergie de l’espace peut être transformée en une source de courant fonctionnelle, grâce à un procédé qu’il a appelé le Monde en Neutrinos (World Into Neutrinos = WIN). Il a l’intention de fabriquer de petits éléments, qui seront probablement placés à l’extérieur de la maison, sur une petite fondation en béton, comme le sont aujourd’hui les conditionneurs à air, et reliés par des fils au tableau électrique principal dans les maisons. Leur prix : 3 000 $ ; on pourra les acheter ou les louer – c’est moins cher que d’acheter ou de louer une voiture.

La partie la plus importante du processus WIN est l’E-dam de LAMBERTSON, et le composant le plus important de l’E-dam est le cermet. Le Cermet est un composite de céramique et de métal thermorésistant, inventé en 1948, que la NASA envisagea d’utiliser dans les tuyères de ses fusées et dans les ailettes des turbines des moteurs à réaction. LAMBERTSON, qui passa presque toute sa carrière à travailler sur les céramiques perfectionnées, est en train de tester quel cermet conviendrait le mieux à son appareil. L’E-dam contient une plaque de cermet en forme de disque d’environ 7,5 centimètres de diamètre, placée entre des plaques métalliques de même dimension. Le processus débute par une charge électrique (en réalité un courant d’électrons) fournie par une source d’énergie standard. La charge coule dans l’E-dam, où elle est retenue dans le cermet : « il stocke les électrons comme un barrage retient habituellement l’eau », dit LAMBERTSON. Quand le barrage est ouvert, les électrons sont libérés. Lorsqu’ils accélèrent, les électrons filants gagnent en énergie grâce à l’énergie de l’espace présente dans l’E-dam. Ce gain en énergie permet à l’appareil de libérer plus de puissance qu’il n’en consomme. Le flot d’électrons pénètre alors dans l’objet qu’on veut faire fonctionner, comme par exemple une ampoule, et entre ensuite dans un autre E-dam pour un nouveau cycle. LAMBERTSON dit que le procédé ne peut jamais être dangereux, si la production d’énergie était trop importante, les E-dams surchaufferaient et arrêteraient le système.

Pendant des années, LAMBERTSON était plus intéressé à prouver que le procédé permettait d’obtenir de l’énergie, plutôt qu’à savoir combien d’énergie était gagnée, puisqu’il pensait que l’adaptation du procédé à des rendements plus élevés était un problème technique relativement simple. Lorsque la première de ses trois demandes de brevets fut rejetée, il le prit finalement très bien, car cela l’obligea à étudier plus attentivement les bibliographies de l’énergie de l’espace. À l’automne 1994, il avait amélioré le procédé au point qu’il produisait deux fois plus d’énergie qu’il n’en consommait.

Tous ces passages, résumés et citations sont issus d’ Énergie libre et technologies disponible sur Amazon.fr. J’en ai simplement filtré et rassemblé l’essence – Emmanuel FESSELIER

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