Inventeur : Viktor SCHAUBERGER

Viktor SCHAUBERGER (1885-1958) était garde forestier au début du siècle, et passait d’innombrables heures à regarder les turbulences tourbillonnantes (des spirales à trois dimensions) dans l’eau des rivières sauvages. À l’époque, son employeur était un prince autrichien ; la famille royale possédait une immense zone de forêts vierges, ce qui permit à SCHAUBERGER d’étudier, pendant des années, les processus de la vie dans les montagnes qu’il avait sous sa garde.

Selon l’un de ses biographes, SCHAUBERGER aurait vu des choses inouïes dans cet écosystème vierge. C’est ainsi qu’il observa, par exemple, comment un lac isolé qui n’était pas alimenté par de l’eau courante, se régénéra lui-même en formant un tourbillon d’où jaillit finalement un immense jet d’eau. Le soir, dans une cascade éclairée par un clair de lune, il comprit que l’eau avait un état énergétique accru, lorsqu’il aperçut des pierres monter à la surface de l’eau. Ce qu’il voyait dans les mouvements et les dessins de la nature était un vortex, une sorte de spirale. Fidèle à sa devise « comprendre la nature, puis imiter la nature », cet observateur génial inventa ce qu’il appela des « machines vivantes ». Les technologies énergétiques actuelles sont principalement fondées sur l’explosion, un mouvement qui se dirige vers l’extérieur, comme la combustion de l’essence ou la fission de l’atome. Les machines de SCHAUBERGER, au contraire, fonctionnaient selon le principe d’un mouvement spiralé vers l’intérieur, ou d’implosion. Bref, il avait découvert comment produire de l’énergie électrique d’une manière radicalement différente, en travaillant en harmonie avec les mouvements créatifs de la nature.

Viktor SCHAUBERGER schémaDeux Américains persuadèrent Viktor (alors âgé de soixante-treize ans) et son fils Walter de partir pour les Etats-Unis. Les nazis avaient obligé Viktor à travailler à son générateur d’énergie dans un camp de prisonniers, sinon il ne revoyait plus sa famille. Maintenant, un consortium promettait de fabriquer ses appareils à énergie salutaires. C’était quelque chose qu’il avait toujours voulue. Mais les hôtes des SCHAUBERGER ne tardèrent pas à révéler leur manque de sincérité – ils n’étaient pas pressés du tout à développer son générateur. Lors de son séjour aux États-Unis, Viktor avait dû signer un engagement, qui lui interdisait d’écrire sur ou de parler de ses inventions passées ou futures, cela afin d’obtenir l’autorisation de rentrer chez lui. Le consortium possédait maintenant tous les droits sur les secrets de son générateur à implosion. Sur le chemin du retour, Viktor pleurait en répétant : « Ils m’ont tout pris, tout. Je ne m’appartiens même plus. » Cinq jours après leur retour, il mourut, le cœur brisé. Au lieu d’avoir été récompensée pour son travail, la vie de Viktor SCHAUBERGER se termina dans le désespoir.

Tous ces passages, résumés et citations sont issus d’ Énergie libre et technologies disponible sur Amazon.fr. J’en ai simplement filtré et rassemblé l’essence – Emmanuel FESSELIER

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