Inventeur : William BAUMGARTNER

William BAUMGARTNER

William BAUMGARTNER est né en Allemagne (1931-2011) ; il y fit ses études ainsi qu’en Suisse, où il se promenait en montagne et faisait du ski dans les Alpes. Comme SCHAUBERGER, il passait des heures à regarder les courants d’eau dans la montagne, et tira un certain enseignement en observant les systèmes naturels. Mais les études l’ennuyaient, surtout quand ses professeurs le rabrouaient en citant les autorités du passé comme toute réponse à ses questions.

Il continua de remettre les dogmes scientifiques en question, mais se tourna quand même vers une formation supérieure et obtint un diplôme d’ingénieur en construction mécanique à l’Institut Technologique de Zürich, en Suisse. En 1954, il partit pour le Canada, en rêvant d’habiter au milieu des forêts, dans une hutte de trappeur, loin de toute civilisation. Toutefois, la dure réalité l’obligea à travailler dans une scierie et à suivre des cours d’anglais pendant ses loisirs. Ensuite, il trouva du travail comme électrotechnicien dans des projets de construction de barrages. BAUMGARTNER tomba sur des livres comme Living Water, une biographie de SCHAUBERGER, et se rendit compte finalement combien il était important de ne pas perturber le cours naturel d’un fleuve dans son mouvement tourbillonnaire. Tout comme BURGER et DAVIS, il se mit à la recherche d’alternatives opérationnelles pour les centrales hydrauliques conventionnelles.

William BAUMGARTNER schemaL’odyssée de BAUMGARTNER comme ingénieur marginal commença lorsqu’une de ses connaissances de Vancouver lui présenta des brevets de Nikola TESLA. À l’époque, peu de personnes connaissaient ce pionnier en électricité – les librairies étaient alors pauvres en bibliographies sur TESLA. Un nouvel emploi de gardien d’une station de pompage de gaz naturel donna le temps à BAUMGARTNER de reproduire certaines des expériences de TESLA.

BAUMGARTNER ensuite déménagea à l’intérieur de la Colombie-Britannique, où il surveilla une station de pompage automatique depuis son domicile. Il avait alors déjà découvert les travaux de l’inventeur John SEARL d’Angleterre, et utilisait l’atelier que son employeur avait mis à sa disposition, pour construire deux appareils à énergie Searl.

Son ami de Vancouver qui l’avait introduit aux travaux de TESLA, voulait construire d’autres découvertes remarquables de TESLA. Lui et BAUMGARTNER savaient très bien qu’il fallait de l’argent pour faire ces recherches, aussi fut-il décidé que BAUMGARTNER rédigerait des livrets d’information sur la technologie de Tesla pour les vendre par correspondance. Ils mirent une annonce dans le journal Popular Mechanics et, à leur grande surprise, il arriva plus de quarante lettres par jour au Centre de Recherches TESLA. Ceci permit à BAUMGARTNER de faire une nouvelle découverte, car un correspondant lui envoya des informations sur Walter RUSSELL, accompagnées d’un message disant que RUSSELL aurait occasionnellement rencontré TESLA à New York. BAUMGARTNER fut impressionné des connaissances de RUSSELL sur les mécanismes invisibles de l’univers.

Plus BAUMGARTNER en apprenait sur les chercheurs du passé en nouvelles énergies, plus il voulait en savoir. Parmi ses multiples projets, il avait celui de publier un magazine, de faire des séminaires et de construire pratiquement tous les appareils non orthodoxes qui aient jamais été inventés. Mais il en revint toujours à Viktor SCHAUBERGER. Par ses lectures et de ses travaux, il finit par saisir les principes derrière les inventions de SCHAUBERGER.

SCHAUBERGER avait étudié comment l’eau des fleuves est amenée à tourbillonner à cause de la rotation de la terre, jusqu’à ce qu’une charge électrique subtile se concentre au milieu du fleuve. Il se forme des charges électriques lorsque des matériaux de nature légèrement différente entrent en contact l’un avec l’autre, or un cours d’eau est constitué de couches d’eau dont les qualités diffèrent. Ces couches se déplacent en un mouvement tourbillonnaire convergent, appelé vortex. Ce mouvement de rotation est comparable au tressage de fils relativement ténus pour former une corde assez solide ; lorsque ce mouvement se met en place dans un cours d’eau, l’énergie s’amplifie. SCHAUBERGER s’aperçut que l’eau contenait plus d’énergie quand la force tourbillonnaire centripète était plus grande que la force tourbillonnaire centrifuge. Il utilisa ensuite ce principe pour créer sa turbine aspirante, dans laquelle des tubes spécialement spiralés étaient enroulés autour d’un axe central afin que l’eau, ou l’air, soit aspiré automatiquement dans les tubes. « J’avais seulement vu des photos (de la turbine) et ne pouvais que deviner ce qui pouvait bien être à l’intérieur », dit BAUMGARTNER. Puis, petit à petit, plus j’en apprenais sur la géométrie de l’espace, plus je fus capable d’imaginer à quoi elle devait ressembler. »

Vers la fin des années 70, BAUMGARTNER commença à développer ce qu’il appela des Tubes à Tornade – sa propre version de l’équipement de SCHAUBERGER. Les tubes, faits de fibre de verre et de cuivre, étaient difficiles à construire à cause de leur forme bizarre qu’il fallait leur donner – ils sont non seulement en spirale, mais leur diamètre intérieur devient aussi de plus en plus petit. Et pour compliquer les choses, la coupe transversale des tubes n’est pas ronde, mais ressemble au bord externe d’une oreille humaine.

Une fois qu’il eut perfectionné ses Tubes à Tornade, BAUMGARTNER les inséra à l’intérieur d’une turbine. En théorie, les tubes créent une spirale en trois dimensions d’une force énorme – en réalité, un effet de tornade. Lorsque l’air ou l’eau se déplace dans les tubes, son mouvement tourbillonnaire convergent pousse l’air ou l’eau en avant à une vitesse inouïe. Cette force peut faire tourner l’arbre moteur d’une machine et donc permettre de faire un travail utile. Les premiers tests de la turbine à eau de BAUMGARTNER montrèrent une sur unité : plus d’énergie à la sortie qu’à l’entrée. Il pense que cette énergie vient de l’espace. Il pense aussi que la technologie classique travaille contre cette énergie ; « nos machines d’aujourd’hui dissipent cette force ; elle ne s’accumule ou ne coule jamais de façon continue. »

Comment pouvons-nous mettre cette énergie à notre service – arriver à la faire couler de façon continue sans qu’elle se disperse ou se dissolve ? Le secret semble se cacher dans le mouvement tourbillonnaire – les spirales à trois dimensions à l’intérieur de la turbine de BAUMGARTNER. SCHAUBERGER et RUSSELL avaient tous les deux fait remarquer que ce mouvement tourbillonnaire se rencontre souvent dans les systèmes naturels, depuis le flux du sang jusqu’à celui de l’eau dans les fleuves. BAUMGARTNER décrit le vortex comme étant « l’outil de la nature avec lequel elle crée tout ce qu’elle désire. » Il dit qu’un vortex tourbillonnaire convergent piège l’éther, la mer d’énergie de fond, l’enroule de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu’à ce que se déclenche un effet perceptible aux hommes. Pour que nous puissions utiliser cette force, il faut que nous la canalisions de manière à ce que non seulement elle entre de manière continue depuis l’espace, et aussi à ce qu’elle en ressorte de manière continue. Nous devons créer une boucle d’énergie fermée.

Il appelle ce processus la mécanique du vortex, et dit qu’il permet de construire une « machine vivante », une machine capable de capter la force de vie de l’espace. D’autre part, la machinerie standard est morte, parce que l’énergie ne s’accumule pas à l’intérieur des machines : « De telles machines fonctionnent selon la loi de l’entropie, qui veut que la matière et l’énergie se désagrègent graduellement et deviennent de plus en plus désordonnées.

Mais des machines vivantes comme celles de BAUMGARTNER fonctionnent en accord avec les lois de la néguentropie, qui veut que la matière et l’énergie sont capables d’auto-organisation. C’est comme une roue sur une colline ; dans des conditions d’entropie, la roue va seulement descendre la colline, mais dans des conditions de néguentropie, elle sera aussi capable de la remonter. En utilisant intelligemment les connaissances en néguentropie, l’humanité peut se passer de détruire la matière et de dissiper l’énergie, et entrer dans un futur où l’énergie s’écoule de manière harmonieuse, sans nuire à l’environnement et sans problèmes de pénurie.

Tous ces passages, résumés et citations sont issus d’ Énergie libre et technologies disponible sur Amazon.fr. J’en ai simplement filtré et rassemblé l’essence – Emmanuel FESSELIER

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